L’EUROPE GALANTE, André Campra, Les Nouveaux Caractères, Sébastien d’Hérin.

« (…) on remarque particulièrement le superbe et très en verve ténor, Romain Champion ». Guillaume Saintagne, Forum Opera, 16 novembre 2017.

L’EUROPE GALANTE, André Campra, La Simphonie du Marais, Hugo Reyne.

« Loin des hautes-contre volatils, Romain Champion y dispense un timbre plein, rappelant Yann Beuron, des accents pénétrants et un verbe aussi magistral que pour l’Italien jaloux, où il jouit de la réponse idéalement distinguée et mobile de Dagmar Saskova (…) ». Jean-Philippe Grosperrin, Diapasonmag, 21 août 2017.

HERCULE MOURANT, Antoine Dauvergne, Les Talens Lyriques direction Christophe Rousset.

«Le plateau vocal réuni pour cette occasion unique est d’exception. Il n’est qu’à entendre Romain Champion dans le petit rôle du Grand Prêtre de Jupiter qui attire notre attention. Son timbre de velours, son phrasé séduisant et sa présence héroïque, déjà remarqués dans l’Atys (Lully) d’Hugo Reyne [lire notre chronique du 11 août 2009], créent un moment de magie d’une grande intensité ». Monique Parmentier, Anaclase, novembre 2011.

“ the bonus of the evening was a lightly virtuosic aria from the otherwise unimportant Grand-Prêtre de Jupiter (Romain Champion) which satisfied any cravings for more conventional arias among the through-composed fluidity of the score “. Alexandra Coghlan, NewStatesman, novembre 2011.

 La DERNIERE SERENADE DE MOLIERE, M-A Charpentier, La Simphonie du Marais, HugoReyne.

«  Romain Champion, en Orphée, a attaqué les redoutables aigus avec prudence, faisant montre d’un timbre et d’un phrasé d’une beauté indéniable, saisissante dès la première note, tant une belle voix ravit toujours. (…) C’est à Romain Champion, cependant, que la palme du jeu revient : le voilà qui survient, repart, bondit, s’agite, soupire, s’amuse et s’il joue, c’est à un jeu, assurément, qui lui réussit fort. Il sait même exemplairement jouer (on y revient encore, à ce mot) de son masque de chat dans Le Sicilien. Quant à la voix, nous avons déjà signalé que le chant faisait entendre un excellent phrasé, un beau timbre, au médium un peu sombre et à l’aigu clair et émouvant ». Loïc Chahine, Muse Baroque, août 2011.

 ATYS, J-B Lully, La Simphonie du Marais, Hugo Reyne.

«  Romain Champion, époustouflant Atys. ». Jean Gallois, Opera Magazine, Octobre 2010.

 «Quant au rôle titre, c’est à un artiste que nous saluions il y a deux ans dans un ouvrage de Cavalli [lire notre chronique du 3 mai 2007] qu’il est avantageusement confié : Romain Champion mène magnifiquement son Atys, abandonnant bientôt le rien d’ampoule qui domine les premières scènes de l’Acte I jusqu’à décoiffer la rigueur du dispositif dit de concert par un bel investissement dramatique». Monique Parmentier, Anaclase, août 2009.

 « Le haute-contre Romain Champion fait montre d’une voix claire au timbre charmeur, toujours à l’aise dans la tessiture, au phrasé idyllique ; une voix pleine de poésie qui sait équilibrer à la perfection texte et musique. Il est difficile de croire que pas un mot du texte ne fut perdu ce soir-là, ni même une phrase de musique, et pourtant cela fut le cas ». Loïc Chahine & Pedro Octavio Diaz, Muse Baroque, août 2009.